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Figure singulière de la période Edo (1603-1867), Jakuchū est connu comme l’un des artistes excentriques ou indépendants de Kyōto, qui n’étaient liés à aucun mouvement artistique en particulier, mais qui créèrent un style tout à fait personnel. Ce fut seulement à l’âge de 40 ans passés qu’il put s’adonner entièrement à la peinture. Cet ensemble de trente rouleaux intitulé Images du royaume coloré des êtres vivants (Dōshoku sai-e) est son œuvre la plus ambitieuse, réalisée sur presque une décennie. Il représente avec ses fleurs, poissons, et oiseaux l’un des exemples les plus remarquables de peinture polychrome japonaise du 18ème siècle. Cet ensemble, appartenant à la collection de l’Agence de la Maison impériale du Japon, en tout point exceptionnel, n’a quitté le Japon qu’une fois, en avril 2012, pour être présenté à la National Gallery de Washington. Il n’est montré qu’à Paris accompagné par la triade buddhique du temple Shôkoku-ji et pour une durée d’un mois en raison de sa fragilité.
Artiste rare, le maître du Symbolisme belge n’a pas bénéficié de rétrospective à Paris depuis près de quarante ans. L’exposition rassemblera une centaine de pièces emblématiques de l’esthétique complexe de Fernand Khnopff, peintre, dessinateur, graveur, sculpteur et metteur en scène de son oeuvre. L’artiste joue avec les thèmes, du portrait aux souvenirs oniriques, du fantasme au nu, et invite à la rêverie et à une réflexion sur l’identité. Les oeuvres majeures de Khnopff seront mises en regard avec celles d’artistes de son temps, de Gustave Moreau à Klimt et Von Stuck, permettant de le replacer dans le contexte de l’Europe fin-de-siècle.
La guerre franco-allemande de 1870, la chute du Second Empire, puis la Commune de Paris poussèrent de nombreux artistes installés en France à se réfugier au Royaume-Uni. Dans les mois ou les années qui suivirent la fin des événements, des réfugiés économiques vinrent rejoindre leurs rangs. L’Empire britannique est alors au sommet de sa puissance. Londres représente un refuge sûr pour les artistes quittant Paris, mais le choix de leur destination est aussi guidé par l’idée que le marché de l’art y est plus porteur. Le parcours animé par des témoignages sonores, permet au visiteur de faire le voyage de Paris à Londres en revivant l’expérience de ces artistes en exil. Certains sont déjà célèbres (Carpeaux, Tissot, Daubigny), d’autres vont s’y révéler en enseignant leur art (Legros, Dalou), tandis que les futurs impressionnistes (Pissarro, Monet, Sisley) peinent à convaincre le public anglais malgré le soutien du marchand Durand-Ruel qui diffuse l’art français à Londres.
Première rétrospective consacrée à Martin Margiela à Paris, l’exposition retrace, du printemps-été 1989 au printemps-été 2009, la carrière du créateur belge qui questionna aussi bien les structures du vêtement que les systèmes de la mode. Margiela reste le créateur sans visage, sans interview, à la griffe blanche vierge de toute marque. L’homme qui prône l’anonymat est connu non seulement pour son univers blanc, couleur qu’il décline en une multitude de nuances, mais aussi pour ses défilés dans des lieux hors norme : parking, entrepôt, station de métro, terrain vague... A travers plus de 130 silhouettes, vidéos de défilés, archives et installations spéciales, l’exposition Margiela / Galliera offre un regard inédit sur l’un des plus influents créateurs de mode contemporaine.
Dans la continuité de ses collaborations avec des artistes contemporains, la maison de Balzac invite Alkis Boutlis, peintre et dessinateur grec, à créer et exposer une série autour de l'œuvre d'Honoré de Balzac. Le mariage des thèmes de prédilection de l'artiste avec les interrogations métaphysiques de Balzac donne lieu à une série d'œuvres étranges, hors du temps, et d'une profondeur étonnante. Elles sont présentées au musée, en regard d'extraits des œuvres de Balzac choisis en concertation avec l'artiste.
Artiste au croisement de trois mondes, parti de sa Chine natale à Paris en 1948, à l’instant où l’art vivant se partageait de manière évidente entre la France et les Etats-Unis, Zao Wou-Ki est demeuré attaché à une scène parisienne qu'il appréciait, tout en ayant pleinement perçu la vivacité de la création outre-Atlantique et en dépassant les oppositions culturelles et les luttes esthétiques. L’exposition réunira pour la première fois un grand nombre de polyptyques et de peintures de grand format issus des principales collections européennes et asiatiques.
Le musée Cognacq-Jay se met à hauteur des enfants et propose une exposition gratuite et interactive consacrée à L'Enfance des Lumières à destination des 7-11 ans. Ce parcours en deux étapes vient souligner une thématique forte des collections du musée : la perception de l’enfance, à travers une sélection d’œuvres choisies. Le XVIIIe siècle a posé un regard particulièrement intéressé sur le premier âge de la vie, celui où toute forme d’éducation est possible pour que l’enfant devienne un bon citoyen et plus seulement un bon sujet. L’enfant est dès lors considéré pour lui-même, comme un être doué de sensations et non plus comme un adulte miniature. Cinq modules interactifs seront présentés dans les combles du musée autour d'un parcours thématique sur la famille, l'éducation, le jeu et la santé.
Le Petit Palais présente la première exposition dédiée à son jeune fonds photographique. Comme dans beaucoup d’institutions anciennes, la photographie est d’abord entrée au Petit Palais comme document. C’est au début des années 1990 qu’elle accède au rang d’objet de collection à la faveur de la redécouverte et de la restauration d’un ensemble exceptionnel de daguerréotypes. Depuis la réouverture du Petit Palais en 2005, la collection photographique s’est enrichie en œuvres contemporaines. Le parcours présente sept photographes, sept personnalités séduites par l’esprit des lieux : Vasco Ascolini, Jean-Christophe Ballot, Stéphane Couturier, Bruno Delamain, Flore, Hélène Langlois, Julien Lescoeur.
Le musée Cernuschi vous invite à un voyage sensoriel et inédit dans l'Empire du milieu depuis le IIIe siècle avant notre ère jusqu’au XIXe siècle. Doté d’une symbolique qui s’enrichit au fil du temps, le parfum permet d’aborder ainsi de nombreux aspects de la culture chinoise.
Les 15 et 16 septembre 2018, partout en France près de 17 000 monuments ouvrent leurs portes et proposent plus de 25 000 animations pour la 35e édition des Journées européennes du patrimoine. Parce que la sensibilisation des jeunes générations à la connaissance et la préservation du patrimoine est un objectif prioritaire du ministère de la Culture, les Journées européennes du patrimoine sont placées cette année, sous le thème de la jeunesse.
